Les 7 meilleurs livres de Delphine de Vigan à lire ou à offrir !

Découvrez notre sélection des meilleurs livres de Delphine de Vigan à lire ou à offrir !

1. Rien ne s’oppose à la nuit

Résumé du livre :

Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l’écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd’hui je sais aussi qu’elle illustre, comme tant d’autres familles, le pouvoir de destruction du verbe, et celui du silence. D. de V.

2. Les enfants sont rois

Résumé du livre :

« La première fois que Mélanie Claux et Clara Roussel se rencontrèrent, Mélanie s’étonna de l’autorité qui émanait d’une femme aussi petite et Clara remarqua les ongles de Mélanie, leur vernis rose à paillettes qui luisait dans l’obscurité. « On dirait une enfant », pensa la première, « elle ressemble à une poupée », songea la seconde. Même dans les drames les plus terribles, les apparences ont leur mot à dire ».

A travers l’histoire de deux femmes aux destins contraires, Les enfants sont rois explore les dérives d’une époque où l’on ne vit que pour être vu. Des années Loft aux années 2030, marquées par le sacre des réseaux sociaux, Delphine de Vigan offre une plongée glaçante dans un monde où tout s’expose et se vend, jusqu’au bonheur familial.

Delphine de Vigan est notamment l’auteur de No et moi, Rien ne s’oppose à la nuit, D’après une histoire vraie (prix Renaudot et Goncourt des lycéens), Les loyautés et Les gratitudes. Ses romans sont traduits dans le monde entier.

3. No et moi

Résumé du livre :

Adolescente surdouée, Lou Bertignac rêve d’amour, observe les gens, collectionne les mots, multiplie les expériences domestiques et les théories fantaisistes. Jusqu’au jour où elle rencontre No, une jeune fille à peine plus âgée qu’elle. No, ses vêtements sales, son visage fatigué, No dont la solitude et l’errance questionnent le monde. Pour la sauver, Lou se lance alors dans une expérience de grande envergure menée contre le destin.
Mais nul n’est à l’abri…

4. Les Gratitudes

Résumé du livre :

« Vous êtes-vous déjà demandé combien de fois dans votre vie vous aviez réellement dit merci ? Un vrai merci. L’expression de votre gratitude, de votre reconnaissance, de votre dette. À qui ?

On croit toujours qu’on a le temps de dire les choses, et puis soudain c’est trop tard. »

Après Les Loyautés, Delphine de Vigan poursuit dans Les Gratitudes son exploration des lois intimes qui nous gouvernent.

Un roman d’une rare puissance sur les dettes morales et les liens invisibles.  Mohammed Aïssaoui, Le Figaro littéraire.

Solaire et délicat.  Raphaëlle Leyris, Le Monde.

D’une humanité bouleversante. Nathalie Crom, Télérama

5. Les Loyautés

Résumé du livre :

Théo, enfant du divorce, entraîne son ami Mathis sur des terrains dangereux. Hélène, professeur de collège à l’enfance violentée, s’inquiète pour Théo : serait-il en danger dans sa famille ?
Quant à Cécile, la mère de Mathis, elle voit son équilibre familial vaciller, au moment où elle aurait besoin de soutien pour protéger son fils.
Les loyautés sont autant de liens invisibles qui relient et enchaînent ces quatre personnages.

Sobre, subtil, d’une force magistrale. On ne lâche pas ce roman qu’on lira d’une traite. L’Express.

Delphine de Vigan décrit avec une rare acuité les relations qui se tissent et se nouent entre les êtres. Le Figaro.

Son propos est aussi rêche que sa voix est douce. À travers ces lignes, on sent qu’elle revient de loin, de ces années où « rien ne s’oppose à la nuit ». C’est peut-être pour ça qu’elle est montée si haut et si magnifiquement dans sa façon d’écrire le monde. Elle.

Delphine de Vigan ne juge rien ni personne. Elle s’interdit toute forme de compassion, et ne tire aucune morale. Elle témoigne, et c’est l’essentiel. BibliObs.

6. D’après une histoire vraie

Résumé du livre :

«  Encore aujourd’hui, il m’est difficile d’expliquer comment notre relation s’est développée si rapidement, et de quelle manière L. a pu, en l’espace de quelques mois, occuper une place dans ma vie.
L. exerçait sur moi une véritable fascination.
L. m’étonnait, m’amusait, m’intriguait. M’intimidait. (…) L. exerçait sur moi une douce emprise, intime et troublante, dont j’ignorais la cause et la portée.  »

7. Un soir de décembre

Résumé du livre :

« Un livre peut-il porter à ce point la trace d’une femme ? Peut-on écrire seulement pour ça, pour se rapprocher de quelqu’un ou – de manière plus juste – pour l’attacher à soi ? »

Lorsqu’il écrit son premier roman, Matthieu Brin, quarante-cinq ans, est marié, père de deux enfants et mène une vie confortable. Et puis c’est le succès, les éloges, les lettres d’admirateurs. Parmi ces lettres, celles d’une femme qu’il a aimée et qu’il croyait avoir oubliée…

Sous la plume intimiste et saisissante de Delphine de Vigan, Un soir de décembre raconte l’histoire d’une faille soudaine dans l’existence d’un homme, d’un moment de fragilité où les certitudes s’estompent, où le passé ressurgit et où la mémoire se recompose.

Qui est Delphine de Vigan ?

Delphine de Vigan est une romancière française. Son œuvre de fiction explore la vie intérieure des femmes, des histoires qui sont écrites avec une perspicacité et une puissance subtiles

Diplômée de l’École Normale Supérieure, Delphine de Vigan a enseigné la littérature à l’université. Elle a commencé sa carrière de romancière en2006 avec la publication de son premier roman, « No et moi » sous le pseudonyme de Lou Delvig. Il sera suivi de trois autres romans : « Rien ne s’oppose à la nuit », « Je reviens te chercher » et « Une femme ordinaire ».

Avec « Je vais t’aimer », publié en 2008 sous son vrai nom, elle a remporté le Grand prix RTL-Lire. Son livre suivant, « Se perdre » (2010), reprend une vieille histoire familiale où deux sœurs s’enfuient de chez elles et se réfugient dans une bande de jeunes bohémiens. Le roman a été adapté au cinéma.

 
alexandrineÉcrit par Alexandrine
Jeune maman célibataire, lectrice assidue depuis le collège et auteur d’histoires pour les enfants à mes heures perdues.